A cause du conflit du Haut-Karabakh, deux peuples voisins, vivant côte à côte, se sont retrouvés de part et d'autre des ...
Savoir plus...Prenant en considération les doutes sérieux concernant l’authenticité de la photo, la chronique vidéo où ...
Savoir plus...La seule différence avec le cadavre dans la photographie numéro 15 est que cette personne était scalpé en vie, dont le fait ...
Savoir plus...Je suis arrivée à Stépanakert le 25 février pour la prise de vues. Comme il s'est avéré après, je suis apparue en pleins événements. Cette nuit-là les détachements arméniens attaquaient le village de Khodjaly, d'où les forces azerbaïdjanaises bombardaient Stepanakert et où se trouvait l'unique aéroport du Haut-Karabagh.
Savoir plus..."Dans l'interview avec le correspondant de la télévision azerbaïdjanaise Y.Mamedov a déclaré d'une façon non dissimulée, qu'il sait bien sur la conscience de qui est la tragédie de Khodjali . Il ne s'agissait pas de côté arménien".
("Ogonyek", N14-15, 1992)
"Comment sela se pourrait faire, que pendant quatre mois Khodjali était dans le blocus, et le peuple azerbaïdjanais ne lui a pas tendu une main secourable ? Pourquoi les femmes et les enfants n'ont pas été évacué à temps?. Qui a donné exprès nos mères et nos soeurs, nos enfants aux mains de ces sauvages?. Le sang des victimes de Khodjali ne restera pas sans punition".
"Russkaya misl".
This is the bell in Stepanakert, but it is silent because every day each resident of this town has to listen other sounds – the sounds of Grad missiles flying over the town. This is what it leaves after itself. 3 people were killed on the doorway, one miraculously stayed alive. The town is under siege, its people have been living in basements for a long time now, since that ill-fated February 16, when the first missiles flew into the homes of the first victims.
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