
Dans les vains efforts de compromettre et d’accuser les Arméniens de falsifications, le correspondant de l’Agence 1news.az Rizvan Houseynov a reconnu, sans s'en apercevoir, que la falsification est faite par eux-mêmes, car, au moins, il n’était pas correct de présenter une photo prise en 1989 comme photo de victime de 1992.
Autrement dit, le temps, le lieu, les événements et les accusations n’ont rien en commun. Le but et le lieu du tirage de cette photo sont identiques à ceux de la photo № 5.