
On peut trouver des reportages semblables sur Trend, Bakililar, Day.az, karabakh-doc.azerall.info, justiceforkhojaly.org, khojaly.net et d'autres sites azerbaïdjanais diffusant un nouveau thème à la mode nommé « génocide ».
La scène de la vallée parsemée de corps peut choquer même le spectateur averti, aussi de telles séquences s'emploient-elles dans des reportages comme élément stressant. Mais les événements de Khodjali sont illustrés par des photos du pogrom aux Balkans, ayant eu lieu en 1995, et ne peuvent en aucune manière servir de témoignages ni pour les événements de mars de 1918 (génocide № 2), ni pour Khodjali (génocide № 3).
En outre, la photo originale est une photo en couleurs, mais, apparemment, les propagandistes azerbaïdjanais ont pensé que les photos en noir et blanc correspondaient plus aux génocides № 2 et № 3. Pour ce qui est du reste, c'est une question de technique: en utilisant un programme ordinaire d’édition photographique, par exemple le Photoshop, il n'est point difficile de décolorer les photos.
Le fait que la photo originale est une photo en couleurs est évident, la couleur et le plan général révélant non seulement les victimes, mais aussi la position géographique du lieu qui ne correspond pas au paysage de près de Nakhidjévanik. C'est pour cela justement que, dans la version azérie, un morceau de paysage est découpé: quoi que ce soit, le faux est là.